La Clau
Daniel Mach, sur la plainte contre le Conseil général des Pyrénées-Orientales : « je m’acharnerai »

Le 25 octobre 2013, le maire UMP de Pollestres, Daniel Mach, entamait une action en justice contre le Conseil général des Pyrénées-Orientales, à majorité socialiste. L’élu estimait sa commune victime d’une discrimination à caractère politique, après dix ans de privations de subventions de la part de l’institution départementale. Le plaignant, secrétaire de l’UMP des Pyrénées-Orientales et vice-président de l’Agglomération Perpignan Méditerranée chargé des Transports, a communiqué ce mardi 29 avril l’évolution du dossier. Sa plaine est classée sans suite, mais elle « n’est pas une relaxe » car elle constitue une « étape franchie », comme il le souligne dans un communiqué.

Daniel Mach, qui n’entend pas abandonner sa démarche, décrit un dossier « toujours d’actualité » puisque la plainte reste en « cours d’examen ». Il insiste sur un fait de discrimination et affirme « je m’acharnerai à tout faire pour le prouver ». Les documents de candidatures de subventions d’investissement, adressés par l’Hôtel de Ville de Pollestres au Quai Sadi Carnot de Perpignan, sont « ignorés et jetés au panier, alors que des communes politiquement proches de la majorité du Conseil Général, sont aidées financièrement », assure le lésé, qui fait « confiance à la justice et la laisse mener l’enquête et travailler en toute sérénité ».

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