La Clau
Le suspect du meurtre de Palafrugell ne correspond pas au test ADN

L’émotion est palpable dans la région de Girona, agitée par une affaire criminelle sans résolution. Ainsi, l’ADN a rendu son verdict dans le meurtre survenu dans la commune côtière de Palafrugell, le 13 novembre dernier. Après sa journée de travail, une commerçante de 42 ans, Montserrat Sánchez, avait été sauvagement assassinée dans un parking de la ville, sans qu’aucun élément concret ne vienne en appui d’une quelconque explication. Un suspect a bien été arrêté, mardi, avant d’être placé en garde en vue dans l’attente des résultats de tests ADN commandés par la police catalane, mais ceux-ci se sont avérés négatifs. En l’absence de preuves, le juge de la 2ème chambre du tribunal de la Bisbal d’Empordà a donc relâché l’homme en question, bien que l’enquête se poursuive et que l’individu continue d’être considéré comme suspect. L’enquête se poursuit logiquement dans d’autres directions, les enquêteurs des Mossos d’Esquadra hésitant entre l’hypothèse d’une agression crapuleuse ou un acte de violence, tout en privilégiant ce dernier étant donnée la violence du meurtre et le fait que ni l’argent ni les objets de valeur contenus dans le sac à main de la malheureuse n’avaient été volés.

Partager

Icona de pantalla completa